Ils ont dit au sujet du Coran


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F. F. Arbuthnot, The Construction of the Bible and the Qur’an, (Londres: 1985), p. 5.

« Du point de vue littéraire, le Coran est considéré comme un spécimen de la langue arabe pure, composé à moitié tel un poème et à moitié tel de la prose. On dit que dans certains cas, les grammairiens ont adapté leurs règles afin de concorder avec certaines phrases et expressions usitées dans le Coran, et que bien que plusieurs tentatives aient été faites pour produire un travail d’un style aussi élégant que celui-là, aucune n’a abouti. »

 

H. A. R. Gibb, Islam-A Historical Survey (Oxford University Press, 1980), p. 28.

…Les Mecquois exigeaient toujours de lui un miracle, et avec une assurance et une confiance remarquables, Mohammad (psl) en appela au Coran lui-même, comme preuve suprême de sa mission. Comme tous les Arabes, ils possédaient la connaissance du langage et de la rhétorique. S’il était l’auteur du Coran, alors ils pouvaient rivaliser avec lui. Laisse-les produire dix versets semblables à ceux du Coran. S’ils n’y parviennent pas (et il est évident qu’ils n’y parviendraient pas), alors laisse-les accepter le Coran comme un miracle d’une évidence exceptionnelle.

 

Harry Gaylord Dorman, Towards Understanding Islam (New York: 1948), p. 3 :

Il s’agit d’une révélation littérale de Dieu [le Coran], dictée au Prophète Mohammad [pbsl] par l’Archange Gabriel, parfait jusqu’à la moindre lettre. C’est un miracle omniprésent témoin de lui-même et de Mohammad, le Prophète de Dieu [pbsl]. Ses qualités miraculeuses résident en partie dans son style, si parfait et si imposant qu’aucun être humain ni aucun djinn ne pourraient produire ne serait-ce qu’un seul chapitre comparable à sa plus courte sourate, et en partie dans le contenu de ses enseignements, ses prophéties, et ses informations d’une précision étonnante, que [le Prophète] Mohammad [pbsl] n’aurait jamais pu rassembler de lui-même.

 

Arthur J. Arberry, The Koran Interpreted (Londres, Oxford University Press, 1964), p. 10 :

Voulant par la présente tentative… proposer quelque chose qui saurait faire résonner, quoique faiblement, la rhétorique sublime du Coran en arabe, j’ai éprouvé toutes les peines à maîtriser les rythmes complexes et magnifiquement variés qui, outre le message lui-même, permettent au Coran de compter incontestablement parmi les plus grands chefs-d’oeuvre littéraires à la disposition de l’humanitéCette caractéristique particulière… a été presque totalement ignorée par les traducteurs précédents ; ainsi, on ne s’étonne guère de constater que ce qu’ils ont écrit paraît terne et plat par rapport à un original, somptueusement orné.

 

Edward Montet, Paris, 1890, cité par T. W. Arnold dans le livre The Preaching of Islam (Londres, 1913), pp. 413-414.

… [L]e Coran a invariablement maintenu sa place en tant que point de départ fondamentalUn crédo si précis… si accessible à la compréhension ordinaire, si dénué de toute complexité un merveilleux pouvoir pour se frayer un chemin dans la conscience des hommes.

 

Goethe, cité dans Dictionary of Islam de T. P. Hughes, p.526.

A chaque fois que nous le [le Coran] lisons… , il nous séduit, nous étonne et finit par forcer notre révérence. Son style, en harmonie avec son contenu et son objectif est… grandiose, à jamais sublime. Ainsi ce livre continuera à exercer une forte influence sur les temps à venir.

 

Source : http://www.harunyahya.fr/livres/foi/miracles/Miracles_Coran_06.php#dipnot

 

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